(Mise à jour : le 25 septembre 2020 à 19h00)
Le masque barrière est un masque lavable destiné au public pour favoriser une protection collective. Son usage n’exonère aucunement l’utilisateur de l’application systématique des gestes barrières et du respect de distanciation physique. Le masque barrière n’est pas destiné aux personnels soignants comme le sont les masques filtrants de type FFP2 et les masques chirurgicaux.
Un masque FFP est un appareil de protection respiratoire (norme NF EN 149) à usage unique. Il est destiné à protéger celui qui le porte à la fois contre l’inhalation de gouttelettes et des particules en suspension dans l’air, qui pourraient contenir des agents infectieux. Le port de ce type de masque est plus contraignant (inconfort thermique, résistance respiratoire) que celui d’un masque chirurgical.
Il existe trois catégories de masques FFP, selon leur efficacité (estimée en fonction de l’efficacité du filtre et de la fuite au visage). Ainsi, on distingue :
Un masque chirurgical est un dispositif médical (norme NF EN 14683) à usage unique. Il est destiné à éviter la projection vers l’entourage des gouttelettes émises par celui qui porte le masque. Il protège également celui qui le porte contre les projections de gouttelettes émises par une personne en vis-à-vis. En revanche, il ne protège pas contre l’inhalation de très petites particules en suspension dans l’air. On distingue trois types de masques :
Les masques barrières n’ont pas les performances des FFP2. Les entreprises devront évaluer au cas par cas si ces masques barrières sont adaptés aux risques encourus sur chaque type de poste de travail. Les personnes doivent ajuster ces masques au-dessus du nez et sous le menton et respecter les mêmes mesures d’hygiène que pour les autres masques.
Le logo « testé X lavages » en forme de cocarde tricolore n’a aucun lien avec le document AFNOR Spec – Masques barrières. Ce dernier, publié le 27 mars, permet à des particuliers et des industriels de fabriquer des masques grand public de catégories 1 et 2, pour atteindre les objectifs définis le 29 mars par une note interministérielle. Le 27 avril, le ministère de l’Economie a présenté un visuel que les industriels doivent apposer pour indiquer le nombre de cycles de lavages pour lequel les performances des masques sont garanties.
A partir de l’automne 2020, vous pourrez identifier des masques certifiés, estampillés du logo NF (Accréditation Cofrac n° 5-0030 : portée disponible sur www.cofrac.fr). Ils distingueront des masques conformes à des exigences de qualité et de confort. Plusieurs niveaux de confort seront détaillés (meilleure respirabilité) mais aussi de performance (à l’égard des particules fines notamment).
D’ici-là, vous pouvez questionner le fabricant/vendeur, qu’il soit particulier, artisan ou industriel, pour s’avoir s’il a suivi les recommandations de l’AFNOR Spec – Masques barrières. A-t-il choisi des matériaux parmi ceux recommandés ? Suit-il le modèle de masque à plis ou celui à bec de canard ? N’hésitez pas à nouer le dialogue.
Les masques barrières portant le logo « filtration garantie testé X lavages » ont été soumis à des tests réalisés par des laboratoires sur la base d’échantillons envoyés par le fabricant.
La certification NF masques barrières est complémentaire : elle atteste de différents niveaux de confort et plusieurs niveaux de performances concernant la filtration. Elle est plus exigeante vis-à-vis de la résistance des masques en imposant notamment un test spécifique pour s’assurer de la bonne tenue des brides. La certification NF est également délivrée suite à un audit tierce partie du site de fabrication lors duquel un auditeur indépendant passe en revue la chaîne de fabrication au regard du référentiel accessible en ligne. Pour s’assurer de la constance de la qualité au fil du temps, des essais sur les produits fabriqués et des audits sont organisés chaque année avec deux organismes partenaires : Apave Sud-Europe et le LNE.
AFNOR, qui ne commercialise pas de masques barrières, ne peut répondre à cette question ; d’autant plus que le prix des masques grand public n’est pas encadré par l’Etat.
La plateforme solidaire des masques barrières, créée par AFNOR, peut vous permettre de trouver des masques à titre gratuit, si les confectionneurs que vous sollicitez se sont engagés à en mettre à disposition dans les conditions de l’opération « Masque solidaire ». Vous trouverez aussi des confectionneurs, dont des artisans, qui en proposent à prix coûtant, soit à un montant qui correspond selon eux à la somme du prix des matières premières, le temps passé et des frais d’envois. Nous espérons que les prix pratiqués soient acceptables, avec une approche solidaire. Si des prix proposés vous semblent abusifs sur la plateforme AFNOR, n’hésitez pas à nous le signaler, en indiquant le nom du confectionneur à l’adresse masquescoronavirus@afnor.org.
Oui : le 27 août 2020, le ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance l’a confirmé dans une réponse écrite. Les masques barrières conçus dans le respect des recommandations AFNOR SPEC S76-001 sont éligibles au taux de TVA à 5,5 %. Et cela, de manière rétroactive au 24 mars 2020. En effet, les articles 5 et 6 de la loi n° 2020-473 du 25 avril 2020 de finances rectificatives pour 2020 prévoient l’application du taux réduit de TVA de 5,5 % aux opérations relatives aux masques de protection et aux produits destinés à l’hygiène corporelle adaptés à la lutte contre le Covid-19.
Oui, la mise à jour du document AFNOR Spec – Masques barrière ne remet rien en cause. Les masques cousus selon les recommandations publiées le 27 mars sont toujours aussi valables.
Plusieurs publications officielles ont été portées à la connaissance du groupe de rédaction depuis la publication de la version 1.0. de l’AFNOR SPEC S76-001du 27 Mars 2020. Des retours d’expériences ont aussi été nombreux. La mise à jour en tient compte mais ne remet pas en cause les recommandations principales du document ni les modèles de patrons proposés dans la version 1.0.
La version 1.10 du document AFNOR Spec – Masques barrières n’intègre pas de changements majeurs. La principale nouveauté est d’intégrer un modèle de patron pour des masques barrières à destination des enfants de plus de 7 ans. Des références aux avis des autorités sanitaires sont également précisées, avec des liens directs.
Les industriels, qui fabriquent des masques barrières à grande échelle, pourront s’appuyer sur de nouvelles recommandations pour distinguer l’efficacité de filtration par rapport au seuil de 3 microns. Des précisions sur les exigences d’efficacité de filtration du matériau ont été également apportées.
Oui : depuis le 17 juin 2020, à la demande de la Commission européenne, le CEN-Cenelec met à disposition un document de référence en téléchargement gratuit, intitulé CWA 17553:2020 ‘Community face coverings – Guide to minimum requirements, methods of testing and use’. Elaboré sous le pilotage d’AFNOR, il reprend l’essentiel des recommandations de l’AFNOR Spec S76-001. Il n’est disponible qu’en langue anglaise.
Malgré leur bonne capacité filtrante, ces types de filtres ne répondent pas à l’exigence du paragraphe 5.1.8 « Innocuité de l’air inhalé ». En effet, ces matériaux sont susceptibles de libérer des substances irritantes pouvant causer un risque d’allergie (en particulier de crises d’asthme grave) et/ou de toxicité. De plus, ces types de filtres ne présentent pas de bons résultats en termes de respirabilité.
Le document AFNOR Spec peut s’appuyer sur différentes combinaisons d’étoffes, qui ont fait l’objet d’essais dont les résultats sont accessibles ici
Les retours d’expériences d’artisans et de particuliers avertis nous permettent de partager avec vous des recommandations complémentaires, afin de faciliter le choix des matériaux à partir du critère d’accessibilité (disponibilité, prix)
Ce que l’on peut conseiller :
Pour réaliser un masque de catégorie 1 (90% de filtration) :
Plus technique :
Pour réaliser un masque de catégorie 2 (70% de filtration) :
A défaut d’avoir accès à ces étoffes, misez sur la complémentarité: le filtre est plus efficace si l’on choisit trois étoffes différentes
Pour estimer la densité surfacique d’un morceau d’étoffe :
Exemple :
Le coton d’un torchon de cuisine en coton de dimensions (50 x 70 cm) qui pèse 80 grammes a une densité surfacique de 80 / 0,50 x 0,70 = 228 g/m2
Ce qui est déconseillé:
L’assemblage coton/ouatine/coton ne semble pas apporter les performances attendues. Le jean, la toile cirée et le tissu enduit sont également à éviter pour des raisons de respirabilité.
Niveau faisabilité, le jersey est à écarter également.
Dans la perspective des chaleurs d’été : évitez d’utiliser la polaire et la cretonne rugueuse.
Le site « Que choisir » donne également des conseils accessibles ici sur les tissus à privilégier pour confectionner un masque grand public
Le test de la flamme sur laquelle on souffle à travers le masque ne donne aucune indication sur l’efficacité de filtration du masque. Il permet néanmoins d’avoir une idée de son étanchéité et donc de la respirabilité. Si la flamme ne bouge pas du tout, le masque sera vraisemblablement difficile à supporter dans des situations de la vie courante. Si vous avez du mal à supporter un masque en étant au calme, celui-ci sera certainement inadapté lors d’une marche soutenue ou d’une discussion par exemple. Vous vous exposez alors au risque de devoir l’enlever de manière précipitée, sans être en mesure de pouvoir vous laver les mains immédiatement après.
N’oubliez pas qu’un masque barrière n’a pas vocation à apporter un niveau de protection similaire à un masque FFP2 : il est destiné au grand public, dans des situations de travail (hors fonction médicale) et en complément de la distanciation sociale et des gestes barrières.
Le document AFNOR Spec – Masques barrières propose, depuis le 28 avril, des patrons pour élaborer des masques pour les enfants de plus de 7 ans. Ce seuil a été défini en suivant les recommandations des médecins réunis par AFNOR, dans le cadre du travail collectif réalisé par près de 150 experts.
Celui ou celle qui suit les recommandations de l’AFNOR Spec – Masques barrières peut apposer la mention « Masque barrière AFNOR SPEC S76-001 », comme l’autorise la spécification sur les masques barrières (partie 7 – Marquage et notice d’information). Cette mention peut apparaître sur la notice, l’emballage ou le masque. Les industriels fabriquant des masques en série peuvent quant à eux aller plus loin en s’engageant dans un processus de certification NF.
Comme un industriel, vous pouvez utiliser le document AFNOR Spec – Masques barrières qui livre des recommandations, des patrons et des tissus à privilégier. Vous pouvez ensuite l’indiquer sur le masque, son emballage ou la notice que vous pourriez livrer, avec la mention « Masque barrière AFNOR SPEC S76-001 ». En tant qu’artisan, vous n’êtes pas soumis à l’obligation d’une homologation et pouvez commercialiser les masques confectionnés.
Vous avez fait confiance aux recommandations d’AFNOR pour élaborer un masque ou orienter vos achats. Vous pouvez tout à fait utiliser ce masque dans le cadre du port obligatoire dans les espaces publics fermés ou pour circuler sur la voie publique.
Le document AFNOR Spec – Masques barrières mis à jour en avril reprend les recommandations définies par les autorités sanitaires. L’avis de l’ANSM révisé le 13 mai mentionne qu’un masque usagé doit être lavé en machine avec une lessive classique, à 60 degrés pendant au moins 30 minutes. L’Académie de médecine a également indiqué, le 7 septembre, que les masques pouvaient être lavés, avec un détergent, à la même température que le linge de corps.
Oui, pour retirer des éventuels plis après lavage et finaliser le séchage. Une attention particulière doit être portée à ne pas endommager les composants du masque, notamment les brides en élastique. Attention le passage du fer à repasser ne peut se substituer à un lavage.
Quand le port des lunettes n’est pas ponctuel, il peut apparaître de la buée. Cela est dû à un manque d’étanchéité du masque au niveau du nez. Quand le masque est équipé d’une barrette nasale, il est alors conseillé de bien plaquer le masque au niveau de l’arête du nez.
Dans le cas des masques en tissus confectionné soi-même, il est possible de prévoir l’ajout d’une barrette nasale lors de la confection. Exemple de réalisation dans la vidéo (explications à partir de 14 min 30)
Différentes solutions de barrette peuvent être proposées, telles que : un lien de fermeture de sac congélation ou un petit fil métallique enrobé de plastique.
Dans tous les cas, il convient de s’assurer de ne pas utiliser des solutions risquant de blesser l’utilisateur (ne pas utiliser de matériaux trop rigides, ou présentant une arête vive). Le matériau doit résister au lavage lors de l’entretien du masque, ou être retiré avant lavage.
Si vous souhaitez mettre à disposition gracieusement des masques conçus selon les recommandations du document AFNOR Spec – Masques barrières, enregistrez-vous sur notre plateforme solidaire, qui met en relation offreurs et demandeurs, par géolocalisation : https://masques-barrieres.afnor.org
Attention : se référencer sur cette plateforme n’équivaut pas à une homologation ou à une certification de la part d’AFNOR.
Il est recommandé de laver un masque neuf avant sa première utilisation, que vous ayez confectionné vous-même le masque, qu’on vous l’ait offert ou que vous l’ayez acheté à un artisan ou dans un commerce. Cela vous permet de mettre en pratique les consignes d’entretien délivrées par les autorités sanitaires. C’est aussi important pour vous assurer que le masque en question est sain : il est en effet possible qu’il soit porteur d’un virus, quel qu’il soit, à cause des conditions de transport ou du conditionnement réalisé. Laver votre masque avant sa première utilisation permet aussi de réduire les risques d’allergies potentiellement causés par les étoffes neuves.
Si votre masque a été réalisé par un industriel, le nombre de lavages recommandé doit être indiqué. Veillez à tenir les comptes, au fil des lavages. Cependant, nous vous recommandons d’inspecter méticuleusement votre masque à l’issue d’un lavage. L’usure d’un masque peut se manifester de différentes manières :
Si vous observez l’une ou autre de ces signaux, c’est qu’il est temps de vous séparer de ce masque.
Les recommandations de l’AFNOR Spec Masques barrières vous conduisent à jeter votre masque usagé dans la poubelle du tout-venant ou des ordures résiduelles. Vous pouvez également le jeter parmi vos déchets ménagers ou l’insérer dans la chaîne de recyclage des tissus si vous le lavez au préalable selon les recommandations établies
Oui, tout comme le masque chirurgical. Le protocole sanitaire actualisé au 31 août 2020 le confirme. Du moment qu’ils exercent une activité qui n’exige pas d’équipement de protection individuel particulier, et a fortiori hors professions de santé, les collaborateurs d’une entreprise peuvent tout-à-fait porter un masque barrière dans les environnements concernés par l’obligation au 1er septembre 2020 (en complément des gestes barrières), comme les open spaces, les couloirs, les ascenseurs, les salles de réunion ou les guichets, les occupants de bureaux individuels en étant dispensés. La mise à disposition des masques est à la charge de l’employeur. Le cas échéant, pour garantir à ses collaborateurs une réelle efficacité, il s’assurera que les masques barrières qui leur sont destinés ont été conçus conformément au modèle AFNOR SPEC S76-001. La présence, sur ces masques ou sur leur emballage, du logo « NF masques barrières » est un plus
Les masques barrières NF certifiés par AFNOR Certification vous assurent qualité, sécurité et fiabilité. Leur production a été contrôlée sur l’ensemble de la chaîne (traçabilité des matières premières, origine et performances des éléments, confection, emballage, informations mise à disposition du consommateur) par le biais d’un audit réalisé sur le site de fabrication par un organisme tiers indépendant.
La certification NF Masques Barrières est axée sur le confort, la qualité de filtration et la facilité d’usage :
Afin de prouver la véracité de la certification, le fabricant ayant obtenu la certification NF Masques barrières a pour obligation d’afficher sur l’emballage un QR code qui permet de visualiser en ligne son certificat, avec son numéro et sa date d’émission.
Un masque, qu’il soit de type chirurgical ou en tissu, est moins efficace s’il est mouillé par la pluie ou rendu humide par son usage (respiration, transpiration…). Il est donc fortement recommandé de changer son masque mouillé pour en mettre un nouveau, sec. En effet, pensé pour un usage dans un cadre médical, il n’existe pas de tests d’usage permettant d’affirmer qu’un masque chirurgical porté moins longtemps que les 4 heures recommandées, mais mouillé puis séché, soit aussi efficace qu’un masque chirurgical neuf. Conçu pour un usage unique, il est conseillé de ne pas réutiliser son masque chirurgical et donc de le jeter à la poubelle, si possible en le conditionnant dans un sac dédié.
Si votre masque barrière, en tissu, est mouillé, il est de même conseillé de le changer pour un autre masque sec, de le remiser dans un sac et de le laver puis le sécher avant une nouvelle utilisation.
Notre formulaire de téléchargement a été conçu dans le respect du RGPD. Laisser vos coordonnées pour télécharger AFNOR Spec S76-001 présente l’avantage de pouvoir être tenu.e au courant des évolutions du document, dont la version du 27 mars 2020 est une version 1.0. Vous avez aussi la possibilité de demander à ce qu’AFNOR supprime vos données personnelles.
Oui, par e-mail, dans la mesure où vous avez consenti à communiquer vos données dans le cadre décrit ci-dessus.
Les industriels fabriquant des masques barrières selon le modèle AFNOR SPEC S76-001 (entreprises du secteur textile, pharmaceutiques etc.), de toutes tailles (PME, grands groupes), produisant en série. Les fabricants artisanaux de masques grand public et les particuliers férus de couture ne peuvent donc y prétendre.
La certification NF Masques barrières est accessible à tout demandeur (fabricant, mandataire ou distributeur), dont les produits entrent dans le champ d’application défini dans l’article 1 du référentiel et respectent les exigences techniques décrites à l’article 1 de la section B du référentiel de certification.
Le demandeur assure la maîtrise et la responsabilité du respect de l’ensemble des exigences qui sont définies dans le référentiel.
Les masques à usage non sanitaire listés ci-dessous sont éligibles à la certification NF Masques barrières :
Les typologies indiquées ci-dessous ne peuvent pas prétendre à la certification NF Masques barrières :
Il existe 4 modèles de masques certifiés NF. Vous pouvez retrouver l’ensemble des caractéristiques dans le référentiel de certification en page 8
La liste des entreprises et des produits certifiés est accessible ici.
La certification NF est un signe de reconnaissance fort pour les consommateurs, gage de sécurité, d’assurance et de qualité. 84 % des Français déclarent connaître la marque NF et la présence du logo sur les produits ou emballages incite à l’acte d’achat pour 30 % d’entre eux (Etude Opinion Way, janvier 2019 sur un échantillon de 1 000 personnes).
Si vous avez déjà réalisé des essais en 2020 par le biais des organismes officiels ou laboratoires reconnus présents dans cette liste, vous pouvez être exemptés d’essais supplémentaires pour l’admission à la certification NF Masques barrières.
Vous devrez néanmoins réaliser l’essai spécifique sur la traction des brides qui est un prérequis pour l’obtention de la de certification NF Masques barrières
Un processus particulier a été établi afin de pouvoir auditer et certifier les stocks de masques dont vous disposez (si la traçabilité est jugée suffisante et que les preuves d’essais peuvent être fournies).
Vous avez des suggestions d’amélioration ou des questions sur le document, sur les points suivants ?